

Je voulais des planches qui racontent des histoires. Les miennes, peut-être les vôtres aussi. Des planches comme des toiles, où chaque coup de crayon, chaque courbe, chaque grain de bois porte une part d’âme. Je voulais une marque qui parle de liberté, d’art et de respect — respect de soi, des autres, et surtout de la nature qui nous entoure.
Pour moi, le skate n’est pas qu’un sport. C’est un moyen de laisser une trace sans jamais abîmer ce qui nous porte. C’est pourquoi Kokoro s’engage sur une démarche responsable, en privilégiant des matériaux durables et des processus respectueux de l’environnement. Parce que rouler, c’est aussi protéger le sol sous nos roues.


Il y a des rêves qui naissent d’un murmure. Le mien, c’est Kokoro.
Un mot japonais qui signifie cœur, âme, esprit. Tout ce que je mets dans mes planches, dans mes dessins, dans cette marque… et dans ma vie.
Depuis que je suis gamin, je ressens ce besoin de créer, de laisser une trace. La nature, l’art, la musique, les mots… tout ça m’a façonné. J’ai toujours eu cette envie de mélanger ces univers, de trouver un moyen d’exprimer ce que je ressens vraiment, sans filtre, sans bruit. Le skate est devenu ce langage-là. Une façon d’explorer, de rêver, de respirer.
Kokoro Skate Project est né de cette envie de faire les choses autrement.
Et puis il y a ce rêve…
Un jour, je m’imagine skater dans les rues du Japon, à Tokyo, à Kyoto, dans ces ruelles où l’ancien rencontre le futur. C’est un pays qui m’inspire énormément, sa culture, ses traditions, sa manière d’aborder l’art et la nature. Kokoro, c’est aussi un pont entre ce rêve et la réalité, une façon de faire voyager mon cœur à travers chaque planche.
Aujourd’hui, vous faites partie de cette histoire. Avec la campagne de financement participatif, chaque contribution, chaque partage, chaque mot de soutien m’aide à donner vie à ce projet. Ce n’est pas seulement une marque, c’est un mouvement. Un cri doux pour dire que l’art, la liberté et la nature peuvent coexister.


Kokoro, c’est moi, mais c’est aussi vous.
C’est nous, tous ceux qui croient qu’un rêve peut prendre forme sur une planche, qu’une idée peut rouler plus loin que nous.
Chaque planche que je crée porte une part de mon âme, mais elle ne prend vie que quand quelqu’un, quelque part, la fait glisser sur le béton, le bois, l’asphalte… et qu’un instant, on se sent libre.
A PROPOS DU CREATEUR

Je m’appelle Lino.
Je suis un peu de tout et jamais complètement d’un seul endroit. Un rêveur qui passe son temps à chercher des moyens de transformer ce qu’il ressent en quelque chose de tangible. L’art, la poésie, la musique, le skate, la nature… tout se mélange dans ma tête, et chaque jour, j’essaie d’en faire naître quelque chose de vrai.
Je ne cherche pas à courir plus vite que les autres. Je cherche à vivre à mon rythme, à trouver un équilibre entre ce qui me passionne et ce qui me nourrit. Mon univers est rempli de contrastes : le silence des forêts et le bruit du béton, les mots que j’écris la nuit et les lignes que je trace sur une planche.


Créer, pour moi, c’est une nécessité. C’est ma façon de respirer.
Je passe des heures à observer, à écouter, à apprendre… puis je laisse mes inspirations parler. Le skate est une partie essentielle de ma vie, pas seulement comme un sport, mais comme une forme d’expression. Une manière de tracer son propre chemin, de tomber, de se relever, de recommencer.
J’ai aussi cette soif de partage. Partager des idées, des émotions, des rêves. J’ai envie de construire des ponts entre les disciplines, de collaborer avec d’autres artistes, de raconter des histoires à plusieurs voix. Kokoro est né de ça : d’une envie de créer, mais surtout de créer ensemble.
Je suis quelqu’un qui doute beaucoup, mais qui croit profondément dans la beauté des choses simples.
Chaque pas que je fais, chaque projet que je lance, c’est un fragment de moi que je dépose dans le monde. Peut-être que ça touche, peut-être que ça inspire, peut-être que ça ne fait que passer… mais ça existe, et ça, ça me suffit.
Je ne prétends pas avoir toutes les réponses. J’avance, j’apprends, je tombe, je recommence. Ce qui compte pour moi, ce sont les rencontres, les idées qu’on fait naître ensemble, et ces instants suspendus où tout semble avoir du sens.
Ose créer, ose vivre, ose être toi.